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Laurent Gerra : « Il faut être joyeux et subversif sinon on s’emmerde »
Heureux de retrouver ses terres, heureux de participer à la genèse de cette belle histoire que le festival du cinéma français a tout pour être, heureux d'en être le parrain, une décision qui n'en fut pas une puisqu'il l'accepta sans sourciller. Trois jours après avoir remis le prix Frédéric Dard à Saint-Chef, dans le nord-Isère, Laurent Gerra se retrouve aujourd'hui et pour toute cette semaine parmi le gratin du cinéma français. Disponible, il ne pouvait décemment pas nous échapper.